la sourceRichard Hakluyt, 1584.
introductionCette table des matières du Discours of Western Planting de Richard Hakluyt (1584) présente un texte établissant les revendications juridiques anglaises sur l'Amérique du Nord et discutant en profondeur des avantages commerciaux et stratégiques de la colonisation de la région. Hakluyt (1552-1616) était un géographe, un historien, un rédacteur en chef et un des principaux promoteurs de l'expansion coloniale anglaise en Amérique du Nord. Il a présenté son Discours of Western Planting à la reine Elizabeth I sous forme de manuscrit, mais il n'a été réellement imprimé que près de trois cents ans plus tard. Bien qu'Elizabeth soit d'accord avec les sentiments du Discours, l'Angleterre était engagée dans une rivalité avec l'Espagne et incapable de financer le projet colonial proposé par Hakluyt, bien que Hakluyt Conversation a probablement eu une influence sur la formation de la colonie infructueuse établie en 1585 sur l'île de Roanoke, au large des côtes de l'actuelle Caroline du Nord.
Un discours particulier concernant le grand necessitie et les comodyties multiples qui sont comme grandir dans ce Realme of Englande par les découvertes de Westerne récemment tentées, écrit dans l'année 1584 par Richarde Hackluyt d'Oxforde à la demande et direction du juste adorateur M. Walter Raghly [Raieigh] nowe Knight, devant la maison comynge de ses Twoo Barkes: et est transformé en xxi chapiters, dont les titres suivent dans le nexte leafe.
- Que cette découverte de l'ouest sera grandement pour l'élargissement de l'évangile de Christe où les princes de la religion refourmée sont chefely borne parmi lesquels sa Majesté est principalement.
- Que tous les autres métiers anglais se développent de manière indulgente ou décourageante, en particulier dans tout le roi d'Espagne ses Domynions, où nos hommes sont secs pour jeter leurs bibles et leurs prières Bokes dans la mer, et pour renoncer et renoncer à leur religion et conscience et par conséquent à leur obéissance à Sa Majesté.
- Que ce voyadge occidental nous jaillira toutes les marchandises de l'Europe, de l'Affrique et de l'Asie, autant que nous aurions pu voyager, et fournir les moyens de tous nos métiers délabrés.
- Que cette entreprise sera pour l'imploymente multiple de nombers d'hommes oisifs, et pour la reproduction de beaucoup de suffisants, et pour l'énonciation de la grande quantité des marchandises de notre royaume.
- Que ce voyage sera une grande bride aux Indes du roi d'Espagne et un moyen que nous puissions nous arrêter à notre gré pour l'espace de dix semaines ou trois monéthes chaque année, un ou deux cents voiles de ses sujets expédiés au fysshinge à Newfounde Iande.
- Que le rischesse que le Threasure indien a exercé à l'époque de Charles le défunt père de l'empereur à la Spanishe kinge, doit être eu en considération de la Q.Moste excellente Majesté, le moins le contynuall commynge du même threasure de là à sa sonne, worke l'ennui irrécupérable de ce Realme, dont nous avons déjà eu une expérience très dangereuse.
- Ce que signifie spécifiquement peut faire sortir le roi Philippe de son trône élevé et le rendre égal aux princes ses voisins, dont on montrera ses faiblesses aux Antilles.
- Que les limites du roi des domynions d'Espagne dans les Antilles ne soient rien d'aussi grandes qu'on l'imagine et le supposent généralement, ni ces partes qu'il tient être de telles forces comme est faussement geven oute par le popishe Clergye et d'autres ses prétendants, à terrffie les princes de la Relligion et les abuser et les aveugler.
- Les noms des villes riches longe la côte de la mer du côté nord de l'équinoxe de la Mayne lande d'Amérique sous le roi d'Espagne.
- Une déclaration de Brefe des chefs Ilands dans la baie du Mexique étant sous le roi d'Espagne, avec leurs havres et leurs fortes, et quelles marchandises ils yeide.
- Que les Espagnols ont exécuté les cruautés les plus scandaleuses et plus que les Turkishe dans toutes les Antilles, par lesquelles ils sont partout là-bas, deviennent plus odieux pour eux, qui serait joyne avec nous ou tout autre moste volontiers secouer de leur joug intollerable moste, et ont commencé à le faire déjà dans des lieux de teinturiers où ils étaient jusqu'ici Lordes.
- Que le passage de ce voyadge est facile et court, qu'il ne coupe ni le commerce d'aucun autre puissant Princes, ni leurs pays, qu'il doit être parfumé à tous les temps d'antan, et ne nécessite qu'une sorte de vent, que l'Irlande étant pleine de bons paradis sur les côtés sud et ouest, est la partie la plus délicate de l'Europe, qui par ce commerce sera en plus de sécurité, et le plus tôt attirée vers plus de civilité.
- Que par les présentes, les revenus et les coutumes de Sa Majesté à l'extérieur et à l'intérieur seront augmentés par le péage, les excises et autres duos qui, sans oppression, peuvent être augmentés.
- Que cette action servira grandement à l'augmentation, la chance et la sécurité de notre Navye, et en particulier de la grande expédition qui est la force de notre royaume, et pour le soutien de toutes ces occupations qui en dépendent.
- Cette spedie planter dans divers endroits convenables est la plus grande nécessité sur ces découvertes fortunées de Westerne, faute de peur d'être empêchées par d'autres nations qui ont les mêmes intentions, avec l'ordre de celles-ci et d'autres raisons qui en découlent.
- Cela veut dire empêcher cette entreprise de renverser et les entrepreneurs de la honte et du déshonneur.
- Que par ces colonies, le passage du nord-ouest à Cathaio et à la Chine peut facilement être rapidement et parfaitement recherché aussi bien par fleuve et par overlande, que par mer, pour preuve de quoi ici sont cités et invoqués divers témoignages rares hors des trois volumes de voyadges rassemblés par Ramusius et d'autres auteurs graves.
- Que le titre Queene of Englande à toutes les Antilles, ou du moins à aussi moche que soit de la Floride au Cercle Articke, est plus légitime et plus droit que les Espagnols ou tout autre Princes Chrétiens.
- Réponse à la bulle de la Donación de toutes les Antilles grattée aux rois d'Espagne par le pape Alexandre VI, lui-même né à l'Espagnol.
- Une brève collection de certaines raisons pour inciter Sa Majesté et l'État à prendre en main le voyadge de l'ouest et la plantation.
- Une note de quelques trucs à préparer pour le voyadge qui est réglé plutôt pour attirer les preneurs du voyadge in hande à la considération présente puis pour toute autre raison pour que les divers trucs nécessitent une préparation longe avant le voyadge, sans laquelle le voyadge est maymed.