Townshend Revenue Act (29 juin 1767)

L'une des quatre lois législatives appelées en l'honneur du chancelier de l'Échiquier de la Couronne Charles Townshend (1725-1767) et visant à aider à couvrir les dépenses en croissance rapide de la colonisation nord-américaine, la Townshend Revenue Act imposait des droits d'importation sur des biens matériels tels que le plomb, le thé, papier et peinture. Les autres lois de Townshend sanctionnaient des mandats de perquisition généraux appelés brefs d'assistance, établissaient des tribunaux sans jurys, créaient un conseil de commissaires des douanes à Boston et suspendaient l'assemblée de New York lorsqu'elle contestait publiquement le Quartering Act de 1765. La réaction coloniale indignée comprenait plus de pétitions le roi, le boycott des biens britanniques et la violence accrue de la part de groupes comme les radicaux Sons of Liberty. Réprimandé, le Parlement a abrogé les droits en 1770 sauf, désastreusement pour la Couronne, celui sur le thé.

Laura M.Miller,
L'Université Vanderbilt

Voir également ; Actes de Townshend.

Un acte pour l'octroi de certaines fonctions dans le Britannique colonies et plantations Amérique; pour permettre une ristourne des droits de douane à l'exportation de ce royaume, du café et des noix de cacao du produit desdites colonies ou plantations; pour la suppression des ristournes payables sur les articles en faïence de Chine exportés en Amérique; et pour empêcher plus efficacement la circulation clandestine de marchandises dans lesdites colonies et plantations.

Tandis que il est opportun qu'un revenu soit levé, dans les domaines de Votre Majesté en Amérique, de prendre des dispositions plus sûres et plus adéquates pour couvrir la charge de l'administration de la justice et le soutien du gouvernement civil dans les provinces jugées nécessaires; et pour couvrir davantage les dépenses de défense, de protection et de sécurisation desdits dominions; … Qu'il soit adopté.… Que, à compter du vingtième jour de Novembre, mille sept cent soixante-sept, il sera élevé, prélevé, collecté et payé, à Sa Majesté, ses héritiers et successeurs, pour les marchandises respectives ci-après mentionnées, qui seront importées de Grande Bretagne dans toute colonie ou plantation Amérique qui est maintenant ou peut être, sous la domination de Sa Majesté, de ses héritiers ou successeurs, les divers taux et droits suivants; c'est-à-dire,

Pour chaque quintal avoirdupois de couronne, assiette, silex et verre blanc, quatre shillings et huit pence.

Pour chaque centaine de poids avoirdupois de plomb rouge, deux shillings.

Pour chaque cent poids avoirdupois de verre vert, un shilling et deux pence.

Pour chaque centaine de poids avoirdupois de plomb blanc, deux shillings.

Pour chaque centaine de poids avoirdupois de couleurs peintres, deux shillings.

Pour chaque livre de poids avoirdupois de thé, trois pence.

Pour chaque rame de papier, généralement appelée ou connue sous le nom de Atlas bien, douze shillings.…

  • IV. … Et que toutes les sommes qui résulteront desdits droits (à l'exception des frais nécessaires pour lever, percevoir, percevoir, recouvrer, répondre, payer et rendre compte de ces droits) seront appliquées, en premier lieu, de la manière est mentionnée ci-après, en prenant des dispositions plus sûres et plus adéquates pour la charge de l'administration de la justice et le soutien du gouvernement civil dans l'une desdites colonies et plantations où il sera jugé nécessaire; et que le résidu de ces droits sera versé dans le récépissé du Trésor de Sa Majesté, et sera inscrit séparément et séparément de toutes les autres sommes payées ou payables à Sa Majesté…; et y sera réservé, pour être de temps en temps disposé par le Parlement pour couvrir les dépenses nécessaires pour défendre, protéger et sécuriser le Britannique colonies et plantations Amérique.
  • V. Et qu'il soit en outre décrété…, Que Sa Majesté et ses successeurs seront, et sont par les présentes, impuissants, de temps à autre, par tout mandat ou sous-mandat en vertu de son ou de leur manuel des signes royaux ou des manuels des signes, contresigné par le haut trésorier , ou trois ou plus des commissaires du Trésor pour le moment, pour faire appliquer ces sommes, sur le produit des droits accordés par la présente loi, comme Sa Majesté ou ses successeurs le jugeront approprié ou nécessaire , pour avoir défrayé les charges de l'administration de la justice et du soutien du gouvernement civil, dans tout ou partie desdites colonies ou plantations.…
  • X. Et alors que par une loi du parlement faite la quatorzième année du règne du roi Charles II, intitulé, Acte pour prévenir les fraudes et réglementer les abus, dans les coutumes de Sa Majesté, et plusieurs autres actes actuellement en vigueur, il est permis à tout officier des douanes de Sa Majesté, autorisé par bref d'assistance sous le sceau de la Cour des Finances de Sa Majesté, de prendre un constable, chef-bourg ou autre fonctionnaire public habitant près de le lieu, et dans la journée pour entrer et entrer dans n'importe quelle maison, cave de magasin, entrepôt, ou pièce ou autre endroit et, en cas de résistance, casser les portes, coffres, malles et autres pakages là-bas, saisir, et de là pour apporter, tout type de marchandises ou marchandises interdites ou inhabituelles, et de les mettre et de les mettre en sécurité dans l'entrepôt de Sa Majesté à côté du lieu où cette saisie sera effectuée; et considérant que par un acte fait dans les septième et huitième années du règne du roi Guillaume III, intitulé Acte pour prévenir les fraudes et réglementer les abus dans le commerce des plantations, il est, entre autres, décrété, que les agents chargés de percevoir et de gérer les revenus de Sa Majesté et d'inspecter le commerce des plantations, en Amérique, auront les mêmes pouvoirs et autorités pour pénétrer dans les maisons ou entrepôts, pour fouiller ou saisir les marchandises dont l'importation est interdite. ou exportés vers ou hors de l'une desdites plantations, ou pour lesquels des droits sont payables ou auraient dû être payés; et qu'une assistance semblable sera donnée auxdits officiers dans l'exécution de leur charge, comme, par ledit acte récité de la quatorzième année du roi Charles II, est prévue pour les officiers de Angleterre: mais, aucune autorité étant expressément donnée par ledit acte, fait dans les septième et huitième années du règne du roi Guillaume III, à un tribunal particulier d'accorder de tels brefs d'assistance pour les officiers des douanes dans lesdites plantations, il doute que ces agents puissent légalement pénétrer dans les maisons et autres lieux sur terre, pour rechercher et saisir des marchandises, de la manière prescrite par lesdits actes cités: Pour éviter quels doutes pour l'avenir, et afin de porter l'intention desdits actes récités en exécution effective, qu'elle soit promulguée…, Que de et après ledit vingtième jour de Novembre, mille sept cent soixante-sept, tels brefs d'assistance, pour autoriser et empêcher les officiers des douanes de Sa Majesté d'entrer et de pénétrer dans toute maison, entrepôt, magasin, cave ou autre lieu, dans le Britannique colonies ou plantations dans Amérique, pour rechercher et saisir des marchandises interdites et inhabituelles, de la manière prescrite par lesdits actes énumérés, doit et peut être accordée par ladite cour supérieure ou suprême de justice ayant compétence dans ladite colonie ou plantation respectivement.…

SOURCE : Pickering, D., éd. Statuts en général. Vol. XNUMX.